Les six détenus par la Police Nationale ont été traduits devant le tribunal, et le président du Tribunal Central d'Instruction numéro Un du Tribunal National a décrété l'emprisonnement de tous.
La Police nationale a démantelé un groupe jihadiste qui « constituait une réelle menace pour la sécurité », dans lequel des détenus «Ils étaient très radicalisés et a pleinement adhéré aux principes de DAESH. La collaboration avec la DGST marocaine a été décisive dans le démantèlement de cette structure qui opérait dans l'axe Ceuta-Castillejos, réalisant trois des arrestations
Ce lundi, les six arrêtés par la Police Nationale ils sont allés à disposition judiciaire, décrétant le président du Tribunal Central d'Instruction numéro Un du Tribunal National l'entrée en prison de tous.
Cette enquête a débuté mi-2023 lorsque les agents ont détecté un groupe de personnes très radicalisées qui ils ont utilisé les réseaux sociaux pour, vraisemblablement, visionner et partager du contenu audiovisuel philo-jihadiste. Après un contrôle approprié, les agents ont vérifié que les détenus faisaient preuve d'une activité jihadiste belliqueuse, avec des menaces directes contre la population occidentale et la communauté juive, et incitaient à la commission d'actions violentes. De même, les agents ont détecté des manifestations montrant leur intention de se déplacer vers des zones de combat sur le continent africain, contrôlées par des factions d'organisations terroristes.

Collaboration avec la DGST marocaine
La collaboration avec le Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST) Cela a été la clé du succès de cette opération, en permettant le démantèlement d'une structure qui opérait dans l'axe Ceuta-Castillejos, et qui comprenait des individus très radicalisés, adhérant aux principes de l'organisation terroriste DAESH et avec la volonté de mener des actions violentes. actes. Les agents estiment ainsi neutralisé un réel danger pour la sécurité des deux pays.
L'opération, qui a été menée par des agents du Commissariat Général d'Information de la Police Nationale, a bénéficié de la collaboration du Brigades provinciales d'information de Ceuta, Ségovie, Málaga et Madrid et les Brigades Locales d'Information d'Ibiza et d'Algésiras, toutes sous la direction du Tribunal Central d'Instruction numéro Un et du Parquet du Tribunal National. De plus, au niveau international, elle a bénéficié du soutien de l'Agence EUROPOL.
Radicalisation via les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux deviennent de plus en plus le meilleur outil pour radicaliser principalement les jeunes et les rapprocher des idéaux du terrorisme. Selon une étude de l'Institut El Cano, entre 2012 et 2023, 205 djihadistes ont été condamnés ou tués en Espagne et dans tous ces cas, la sphère numérique a joué un rôle crucial dans ce processus, facilitant l'accès aux contenus extrémistes et permettant la connexion entre des individus partageant les mêmes idées.
Il y a tout juste un mois, la Police Nationale a arrêté deux individus à Itsasondo (Gipuzkoa) et Avilés (Asturies) pour leur implication présumée dans la diffusion de messages djihadistes via les réseaux sociaux. Comme indiqué RTVE, les deux détenus ont été mis à la disposition du Tribunal d'Instruction numéro 5 du Tribunal National, qui a ordonné leur emprisonnement.
L'enquête, débutée début 2024, s'est d'abord concentrée sur un individu d'Itsasondo, identifié pour avoir partagé des contenus violents liés à la État islamique et lors de son arrestation, les autorités ont fouillé son domicile et deux véhicules, saisissant du matériel informatique en cours d'analyse. Selon les agents, le détenu entretenait des contacts avec des profils jihadistes dans les zones de conflit et consommait de grandes quantités de contenus glorifiant le terrorisme.
En revanche, à Avilés, les autorités ont identifié un autre individu radicalisé qui utilisait les réseaux sociaux pour diffuser des messages pro-jihadistes. Ce sujet avait un nombre considérable de followers, qu'il a incité au jihad et a ouvertement exprimé sa haine de la culture occidentale.
Le gouvernement Sánchez veut des immigrés musulmans, car ils sont là. L'Espagne ne pourra pas se débarrasser des assassins terroristes musulmans dans son propre pays à cause de la politique d'immigration du président.