Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a qualifié de « vision créative » et « révolutionnaire » le projet du président américain Donald Trump de relocaliser les Palestiniens de la bande de Gaza vers d'autres pays comme l'Égypte et la Jordanie.
Netanyahu, qui n'a pas encore exprimé explicitement son soutien au plan Trump, a fait référence au projet du président américain lors d'un vote de défiance de l'opposition au Parlement, plutôt symbolique puisqu'elle ne dispose pas de majorité dans la chambre.
« La vision de Trump est une nouvelle vision, une vision créative, une vision révolutionnaire. "Et il est déterminé à le mettre en œuvre", a déclaré le Premier ministre, qui a insisté sur le fait qu'il mettrait fin à la présence du groupe terroriste islamique palestinien Hamas à Gaza, selon un communiqué de son bureau.
« Au cours de mes années en tant que Premier ministre, j’ai rencontré les présidents américains à la Maison Blanche vingt fois. « Mais la rencontre historique avec le président Donald Trump a été la plus importante, la plus amicale et la plus significative », a déclaré Netanyahu.
Le Premier ministre a souligné que des décisions telles que l'entrée des Forces de défense israéliennes (FDI) dans la ville de Gaza ou dans le soi-disant « camp de réfugiés » de Khan Yunis ont été prises sans consultation ou contre l'avis de l'administration américaine précédente.
Il a toutefois noté que Trump et son administration ont salué les actions d'Israël contre « l'axe iranien », faisant référence au Hamas et au groupe terroriste chiite Hezbollah au Liban.
S'adressant à Fox News, Trump a déclaré que selon son plan, les Palestiniens déplacés vers d'autres pays ne se verraient pas garantir le droit de retourner dans l'enclave.
« Je m'en occuperais (Gaza). Considérez-le comme un développement immobilier pour le futur. « Ce serait un magnifique morceau de terre », a-t-il déclaré à propos de la bande de Gaza, qu'il a promis de transformer en Riviera du Moyen-Orient.
Les commentaires de Trump interviennent dans un contexte de critiques internationales, notamment de la part des alliés traditionnels des Etats-Unis, et juste avant qu'il n'accueille le roi Abdallah II de Jordanie à la Maison Blanche mardi.
Israël et le Hamas ont convenu d'un cessez-le-feu entré en vigueur le 19 janvier et qui comprend l'échange d'otages israéliens kidnappés par le groupe terroriste islamique en échange de terroristes palestiniens emprisonnés dans les prisons israéliennes, bien que la situation soit instable.
Les agences ont contribué à cet article d'Aurora
Netanyahou qualifie le plan de Trump pour Gaza de « vision créative » et de « révolutionnaire »

Si un tel plan pouvait être établi, les Gazaouis qui souhaitent vivre en paix devraient être autorisés à entrer, sinon ce serait une injustice envers les Gazaouis qui sont de bons citoyens.
Je doute fort qu’il y ait de « bons Gazaouis », d’une manière ou d’une autre ils finissent par se prêter aux fins de leur gouvernement terroriste, le HAMAS, et finissent par collaborer, par peur ou par plaisir. Mais on ne peut pas leur faire confiance, il vaut mieux qu'ils aillent ailleurs. Israël ne peut pas continuer à risquer son avenir avec de tels gens là-bas.
SUIS ISRAËL JAI.