Par Shimon Stein
La visite surprise en Syrie des ministres des Affaires étrangères d'Allemagne et de France, qui représentaient également l'Union européenne (une étape positive compte tenu des relations tendues entre les deux pays), fait suite à une série de voyages à Damas des ministres des Affaires étrangères arabes et du ministre turc des Affaires étrangères. .
Par ailleurs, de nombreuses visites de travaux ont été réalisées.
L'objectif de ces visites, et d'autres prévues dans un avenir proche, est de démontrer l'intérêt d'ouvrir un nouveau chapitre dans les relations après la chute du régime d'Assad.
Chaque pays en visite aura probablement ses propres lignes rouges ou conditions pour établir des relations.
Les deux ministres des Affaires étrangères ont réitéré les conditions sans lesquelles l'UE aurait des difficultés à soutenir la Syrie dans son processus de changement.
Ces conditions incluent en partie un processus politique structuré pour rédiger une constitution et organiser des élections impliquant tous les groupes ethniques et religieux.
Le ministre allemand des Affaires étrangères a souligné la nécessité d'accorder des droits aux femmes et d'assurer leur intégration, tout en soulignant que le nouveau régime sera jugé sur ses actions.
Il a également précisé que l’Europe ne soutiendrait pas financièrement les « nouvelles structures islamiques ».
Il a notamment abordé les relations du nouveau régime avec la Russie, qui affecteront ses relations avec l'Allemagne, déclarant qu'« il est temps pour la Russie de partir ».
Il a par ailleurs souligné la nécessité de préserver l'intégrité territoriale de la Syrie, sans citer explicitement la Turquie ou Israël (un membre de sa délégation a souligné que des négociations sur la question étaient en cours avec les deux pays).
L'importance de cette visite doit également être considérée dans le contexte de la question des réfugiés syriens, alors que des millions de personnes ont demandé l'asile dans les pays de l'UE depuis le déclenchement de la guerre civile.
Leur présence a contribué à la montée des mouvements populistes de droite.
En Allemagne, où des élections sont prévues en février, la question des demandeurs d'asile et les moyens de la résoudre reste une question politique clé qui influencera les résultats des élections.
Avant même que la situation en Syrie ne soit complètement stabilisée, un débat public s’est ouvert sur le retour des réfugiés qui n’ont pas réussi à s’intégrer sur le marché du travail.
Cela explique l’intérêt allemand et européen pour la stabilisation de la Syrie et leur volonté d’aider.
Toutefois, les pressions internes pourraient conduire à un assouplissement des conditions d'octroi de l'aide de l'UE.
Il est important de rappeler que les pays européens disposent de leviers pour promouvoir leurs intérêts (notamment la levée des sanctions, l’aide économique et financière à la reconstruction, les relations diplomatiques et l’octroi d’une légitimité au nouveau régime).
Pour Israël, le renforcement de l’influence occidentale en Syrie devrait être une priorité stratégique.
« Les ministres des Affaires étrangères de l’Allemagne et de la France visitent la Syrie – Aurora Israel News en espagnol » https://aurora-israel.co.il/los-ministros-de-exteriores-de-alemania-y-francia-visitan-siria/
Les premiers rapprochements entre les pays de l’Union européenne et la Syrie semblent bons, mais il ne faut pas exclure des intrigues logistiques françaises de la part du Vatican pour semer la zizanie.
C'est le cas de Nicolas Sarkozy qui s'est présenté au Sénat de la République mexicaine pour demander que l'armée mexicaine accompagne d'autres nations dans des guerres qui ne sont pas celles du Mexique. Cependant, Sarkozy a réussi à convaincre le Mexique d’envoyer des soldats ayant les fonctions de casques bleus de l’ONU dans d’autres endroits instables.
Sachant cela, nous devons être très attentifs aux actions françaises avec la Syrie, « en coulisses » et essayer de vendre des armes depuis la France ou par l’intermédiaire des hommes de paille du gouvernement français à la Syrie pour que la France intrigue pour agir et que la Syrie agisse contre Israël. comme la France l'a fait actuellement au Liban avec le Hezbolla contre Israël avec le soutien des yeux fermés et des complices de l'ONU.
Dans l'intégration de la nouvelle Syrie, le soutien serait bien, mais pour un développement sans fondamentalisme toxique de mort contre ceux qui ne sont pas également d'accord avec la façon de penser, et sans guerres croisées avec la politique de la loggia nazie-Vaticanienne de BERGOGLIO des deux états...
Que Dieu bénisse, protège, fortifie et donne toujours la sagesse à Israël et au Mexique... !!!