Emily Damari, l'une des trois otages israéliennes libérées hier par le groupe terroriste islamiste Hamas lors du premier échange de cessez-le-feu, a déclaré ce lundi dans un message sur les réseaux sociaux qu'elle était "plus heureuse que jamais".
« Je suis revenu à ma vie, à mes proches, je suis plus heureux que jamais. Je remercie ma famille et mes meilleurs amis", a écrit la jeune femme de 28 ans sur son compte Instagram.
Il s'agit du premier message public de Damari depuis sa libération. Hier, une photographie de la jeune femme est devenue virale sur laquelle on voit qu'il lui manque deux doigts sur une main.
Sa famille a confirmé peu de temps après qu'il avait perdu deux doigts de la main gauche à la suite d'un tir du Hamas lors des attaques massives du 7 octobre 2023 contre les communautés du sud d'Israël. Dans son message d'aujourd'hui, la jeune femme a inclus un emoji représentant une "main cornuta", avec son index et son auriculaire levés (il manque à Emily son majeur et son annulaire).
La mère d'Emily, Mandy Damari, a célébré aujourd'hui la libération de sa fille et a assuré que la jeune femme allait "bien mieux que ce que chacun d'entre nous aurait pu imaginer".
"Je suis également heureuse que lors de sa libération, le monde ait pu voir une partie de sa personnalité charismatique et combattante", a écrit Mandy dans un message partagé par le Forum des proches des otages et des personnes disparues.
La femme a rappelé qu'il y avait encore 94 otages toujours captifs à Gaza et a demandé que le cessez-le-feu se poursuive afin que tous puissent être rendus à leurs familles.
La première phase de l'accord de cessez-le-feu et de libération des otages est entrée en vigueur ce dimanche et a déjà permis, jusqu'à présent, la libération de trois femmes israéliennes kidnappées en échange de 90 prisonniers palestiniens.
Dans la première phase de l'accord, Israël et le Hamas ont convenu d'un cessez-le-feu de six semaines, au cours duquel il y aura un échange progressif de 33 otages israéliens contre plus de 1.900 XNUMX terroristes palestiniens emprisonnés.
Au cours de ces six semaines, des négociations auront également lieu pour une deuxième phase de la trêve, au cours de laquelle la libération de tous les otages israéliens à Gaza sera achevée et les bases d'une éventuelle fin de la guerre seront posées.
Les agences ont contribué à cet article d'Aurora
Il fallait ajouter les mots « meurtriers terroristes » aux « prisonniers palestiniens !!