En 2016, près de Tel Achziv, sur la côte israélienne, un groupe de chercheurs a retrouvé un fragment d'amphore, dont l'inscription phénicienne a été récemment déchiffrée, apportant un nouvel éclairage sur un possible naufrage survenu il y a plus de 2.000 XNUMX ans.
L'inscription a été analysée par des experts de l'Université de Haïfa et de l'Autorité des Antiquités d'Israël, qui ont déterminé qu'elle mentionne la ville de Sidon, l'un des principaux centres commerciaux phéniciens de l'époque.
Les résultats de l’étude récente ont été publiés en 2025 dans la prestigieuse revue spécialisée CARMEL. Des preuves pétrographiques ont confirmé que la poterie provenait de la région entre Tyr et Sidon, ce qui étaye la théorie selon laquelle elle faisait partie d'une cargaison phénicienne, et la calligraphie rudimentaire de l'inscription suggère qu'elle n'a pas été réalisée par un scribe professionnel mais par un marin possédant des compétences d'écriture de base qui a laissé sa marque sur la poterie.
De plus, des traces de résine, utilisée pour imperméabiliser les récipients, ont été retrouvées à l'intérieur d'une des amphores, indiquant qu'elles transportaient probablement du vin.